C’est ainsi que commence ce conte de fées :
« Il y avait une fois un pauvre homme et une pauvre femme qui étaient bien vieux, et qui n’avaient jamais eu d’enfants : c’était un grand chagrin pour eux, parce qu’ils prévoyaient que dans quelques années ils ne pourraient plus cultiver leurs fèves et les aller vendre au marché. Un jour qu’ils sarclaient leur champ de fèves pour ôter les mauvaises herbes, la vieille découvrit dans un coin, sous les touffes les plus drues, un petit paquet fort bien troussé qui contenait un superbe garçon de huit à dix mois, comme il paraissait à son air, mais qui avait bien deux ans pour la raison, car il était déjà sevré. Tant il y a qu’il ne fit ...
Das berühmte Märchen von Theodor Storm erzählt von einem kleinen Jungen, der Häwelmann hieß. Häwelmann schlief in einem Bett mit Rollen, “wenn er aber nicht müde war, so musste seine Mutter ihn darin in der Stube umherfahren”. – In der Nacht von der diese Geschichte handelt, schlief die Mutter aber so tief ein, daß sie sein Rufen nach “Mehr, mehr!” nicht mehr hören konnte. Und so baute sich Häwelmann aus seinem Nachthemd ein Segel und fuhr allein durch das Zimmer, die Stadt, den Wald und bis in den Himmel hinein, mit lehrreichen Konsequenzen.
(Zusammenfassung von Franziska)